C'est le cas, entre autres, des États-Unis et de la Nouvelle-Zélande. La justification est qu'il n'y a d'équivalence en matière de sécurité alimentaire qu'avec les États de l'EEE. La liste des États ayant des contrôles de médicaments vétérinaires comparables a donc été tacitement raccourcie pour les médicaments vétérinaires. La SVS exige que des autorisations spéciales continuent d'être possibles, du moins pour les animaux de compagnie, car ils ne jouent aucun rôle dans le secteur alimentaire. La SVS va prendre position auprès de Swissmedic à ce sujet.
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